J’ai participé dans la troisième partie d’un documentaire québécois sur la liberté financière

Quand le documentaire québécois sur la liberté financière d’Antoine Denis est sorti, on ne pouvait pas le rater. Plusieurs médias en ont fait la couverture :

Le documentaire québécois sur la liberté financière a fait aussi l’objet de plusieurs critiques. Celle qui a raisonné le plus avec moi est la critique de la sorcière frugale. En effet, j’ai apprécié son commentaire que les entrevues du documentaire manquaient de diversité. En effet, elle a dit dans son billet: “il y a un manque criant de diversité. Je n’irai pas par quatre chemins: tous les invités ont la peau blanche”. Par conséquent, j’ai contacté le réalisateur Antoine Denis afin de proposer ma collaboration. Honnêtement, le contact était simple et fluide et voilà comment je me suis trouvée participante dans les entrevues de la troisième partie de ce documentaire québécois sur la liberté financière.

Mon expérience devant la caméra 

À part les petites vidéos YouTube que je fais de temps en temps avec mon fils, c’était vraiment ma première expérience devant la caméra. En toute transparence, j’avais un peu de stress, alors j’ai demandé à Antoine Denis de me donner les questions qui allaient être posées durant l’entrevue. Cependant, Antoine Denis voulait garder les choses naturelles, donc pas de questions, ça va être plus une discussion. 

La veille de l’enregistrement, j’étais un peu fébrile, c’est une première fois devant la caméra et ma chère amie l’insomnie s’est présentée pour me tenir compagnie. En fait, j’en fais régulièrement et je n’y ai pas échappé cette nuit-là. Alors, à partir de 2 h du matin, je n’ai pas fermé l’œil. 

Bref, si vous remarquez que je parle très vite, je peux mettre cela sur le dos de l’insomnie. Par contre, je dois souligner que le travail avec Antoine était sincèrement agréable. Un jeune homme qui s’est donné la mission de vulgariser les finances en réalisant ses documentaires sur son propre budget. Il a refusé toute publicité afin de garder le volet intègre et éducatif du documentaire.

De quoi parle le documentaire québécois sur la liberté financière

En fait, c’est une série de trois documentaires: 

  • Le premier, « Liberté – Une éveil à l’indépendance financière » vise les jeunes de 15 à 25 ans.
  • Le deuxième, «Liberté. Une quête à l’indépendance financière.» vise les 25 à 35 ans
  • Le troisième, «Liberté. Un dessein à l’indépendance financière.» vise les 35 à 65 ans

Vous avez deviné que les trois documentaires parlent de la gestion des finances personnelles, de la pression exercée dans la société pour consommer plus, et de l’importance d’investir idéalement à jeune âge afin d’acquérir son indépendance financière. Chaque documentaire présente 12 entrevues, avec des personnalités connues comme Pierre McSween, Le Prof. Luc Godbout, des blogueurs québécois très connus comme le Jeune Retraité, R101, et d’autres personnes, qui ont une vision personnelle qui les a amenés aussi vers la liberté financière.

Bien que chaque documentaire cible une audience avec un âge précis, personnellement je les ai tous regardés et j’ai appris dans chaque partie quelque chose de différent. 

Comment supporter la mission de la liberté financière

Je crois fort que la liberté financière est la meilleure chose qui peut arriver à une personne et encore plus à une famille, j’en parle plus ici du pourquoi. En effet, je crois que nous sommes tous gagnants quand ce message d’indépendance et de liberté financières rejoint le plus de monde. Et voilà comment, j’ai essayé de diffuser le message en trois étapes simples :

Les bibliothèques 

Plusieurs bibliothèques ont déjà acquis ce documentaire québécois sur la liberté financière comme la bibliothèque de Montréal et Saguenay.  En effet, j’ai contacté la bibliothèque de ma ville et je leur ai proposé de les acheter en citant les autres bibliothèques qui l’ont fait comme exemple. Comme vous le savez, le contact avec la bibliothèque s’opère facilement de deux façons:

  1. En personne, en demandant au comptoir
  2. Par le service, 72 heures

Sincèrement, j’ai dû faire le suivi une coupe de fois pour qu’ils passent à l’action et je suis contente qu’actuellement, ce documentaire soit disponible à toute la communauté de ma ville.

Les cégeps, les écoles secondaires et les universités 

Plusieurs universités comme celles de Laval et Sherbrooke ont déjà acquis ces documentaires. Même chose pour les cégeps comme cégep Chicoutimi et Victoriaville, et même chose pour les écoles secondaires comme l’école secondaire de Pointe-Lévy et Hormisdas-Gamelin. Bref, la liste complète des universités, des cégeps et des écoles secondaires est disponible sur le site du réalisateur, et cela peut aider à donner l’exemple et encourager de passer à l’action.

Personnellement, j’ai proposé l’achat de ce documentaire québécois sur la liberté financière au conseil d’établissement de l’école secondaire de mes enfants, surtout pour les élèves de la quatrième et la cinquième année.  En effet, je l’ai fait par intérêt personnel, même si j’ai acheté les documentaires, mes enfants seront plus à l’écoute de ce documentaire avec leurs amis qu’avec la famille.

Acheter une copie du documentaire

Comme mentionné précédemment, le documentaire couvre tous les concepts sur les finances personnelles avec des histoires de gens vécues. Cela aurait été payant d’avoir accès à ce documentaire quand je venais d’atterrir à Montréal. En fait, même les questions complexes comme faire un testament ou un contrat d’inaptitude sont présentées et expliquées par une notaire. 

C’est certain que je recommande le documentaire à toute famille québécoise d’ici ou d’ailleurs, afin d’améliorer sa gestion de finance, mais encore plus afin de savoir ce qu’on doit transmettre à nos enfants. Tu peux en prendre une copie avec un prix raisonnable(lien).

Conclusion du documentaire québécois sur la liberté financière

C’est clair que je recommande de visionner le documentaire québécois sur la liberté financière, et je demande aussi de faire un petit effort afin de supporter cette belle mission en rendant l’information disponible au maximum de personnes. Je crois que c’est un acte d’amour que chacun de nous peut faire vers sa communauté.

Quand tu auras la chance de visionner le documentaire, fais-moi savoir ce que tu en penses.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *